tout à fait d'accord avec cette assertion. D'ailleurs c'était la réflexion que je me faisais hier en croisant un cyclise qui me semblait être un puntso... traversant le jardin public . Hormis cette parenthèse je pense que l'architecture est la meilleure placée dans le palmarès du saisissement.
Les images ne s'emparent de rien du tout, puisqu'elles font partie du monde des phénomènes qui ont le sait, sont dépourvus d'égo. C'est le regard, qui est associé au moi par l'intermédiaire de la conscience des sensations et celle des "mental", qui saisit les images. De plus, comme d'un point de vue de l'ultime, le moi est inexistant, forcément les images sont forcément inexistantes de par la notion de nature identique que revêtent les deux concepts. Donc en définitive rien ne s'empare de rien.
C'est bien ce qui me semblait: Kafka est le roi de l'absurde, mais je m'en méfie, car cultiver sans cesse l'absurde amène à une répétitivité qui finit par ne plus donner autant de sens que l'on croit; par l'usure de l'habitude.
je persiste et je signe: l'explication que j'ai fournie s'inspire d'ouvrages bouddhiques et d'enseignements de valeur. Certes, la couleur un peu intello du commentaire peut faire rire, mais je maintiens ma position : la citation de Kafka est partiellement juste car elle ne tient pas compte du vrai fonctionnement des consciences.
7 commentaires:
Kafka n'est pas convaincant(pour moi en tous les cas).
tout à fait d'accord avec cette assertion. D'ailleurs c'était la réflexion que je me faisais hier en croisant un cyclise qui me semblait être un puntso... traversant le jardin public .
Hormis cette parenthèse je pense que l'architecture est la meilleure placée dans le palmarès du saisissement.
oh oh lala! je suis d'accord avec l'assertion de kafka ...of course.
Les images ne s'emparent de rien du tout, puisqu'elles font partie du monde des phénomènes qui ont le sait, sont dépourvus d'égo. C'est le regard, qui est associé au moi par l'intermédiaire de la conscience des sensations et celle des "mental", qui saisit les images. De plus, comme d'un point de vue de l'ultime, le moi est inexistant, forcément les images sont forcément inexistantes de par la notion de nature identique que revêtent les deux concepts.
Donc en définitive rien ne s'empare de rien.
C'est bien ce qui me semblait: Kafka est le roi de l'absurde, mais je m'en méfie, car cultiver sans cesse l'absurde amène à une répétitivité qui finit par ne plus donner autant de sens que l'on croit; par l'usure de l'habitude.
Alea jacta est.
Et si on a perdu le Nord, c'est pas grave, on peut aussi aller à Jacta Ouest.
pascal: il existe de bonnes aspirines pour stopper les prises de tête.
pardonnez-moi...
je persiste et je signe: l'explication que j'ai fournie s'inspire d'ouvrages bouddhiques et d'enseignements de valeur. Certes, la couleur un peu intello du commentaire peut faire rire, mais je maintiens ma position : la citation de Kafka est partiellement juste car elle ne tient pas compte du vrai fonctionnement des consciences.
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