(la suite aussi va bien avec la photo, enfin, pour moi)
Fenêtre de ma chambre, de ma chambre dans la fourmilière humaine unité ignorée (et si l’on savait ce qu’elle est, que saurait-on de plus ?), vous donnez sur le mystère d’une rue au va-et-vient continuel, sur une rue inaccessible à toutes les pensées, réelle, impossiblement réelle, précise, inconnaissablement précise, avec le mystère des choses enfoui sous les pierres et les êtres, avec la mort qui parsème les murs de moisissure et de cheveux blancs les humains, avec le destin qui conduit la guimbarde de tout sur la route de rien.
4 commentaires:
belle mère et jolie maman....
(la suite aussi va bien avec la photo, enfin, pour moi)
Fenêtre de ma chambre,
de ma chambre dans la fourmilière humaine unité ignorée
(et si l’on savait ce qu’elle est, que saurait-on de plus ?),
vous donnez sur le mystère d’une rue au va-et-vient continuel,
sur une rue inaccessible à toutes les pensées,
réelle, impossiblement réelle, précise, inconnaissablement précise,
avec le mystère des choses enfoui sous les pierres et les êtres,
avec la mort qui parsème les murs de moisissure et de cheveux blancs les humains,
avec le destin qui conduit la guimbarde de tout sur la route de rien.
La pauvre vieille . Elle est restée jolie.
je fait mienne cette devise
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