jeudi 29 avril 2010

péché

Il n'y a pas de moments ordinaires.
Dan Millman

5 commentaires:

JL a dit…

...et quand ça a dîné ça r'dîne !


(Comprend qui peut... et comprend qui veut.)

Anonyme a dit…

Sardines : vous êtes condamnés à vivre derrière les barreaux car vous avez péché! Votre pénitence sera le bûcher et vous serez grillées!
Hélène

JL a dit…

Illusion !
C'est le photographe, qui est derrière les barreaux. Ne vois-tu pas leur oeil goguenard nous regardant ?
Ce qui est logique, d'ailleurs, car il est plus vraisemblable que l'action de pêcher ait été accomplie par l'humain situé de ce côté des barreaux que par les sardines elles-mêmes...

Anonyme a dit…

JL, Si les choses sont le contraire de ce qu'il parait pourquoi ne pas aller plus loin et dire que ce sont les sardines qui ont pêché le pêcheur pour se donner à lui?

JL a dit…

Le pêcheur pêché ??? Qui pêche qui ? et qui prêche quoi ? Si les choses sont le contraire de ce qu'il paraît, alors il y a un moment où elles sont ce qu'il paraît... Car forcément, si elles sont le contraire de ce qu'il paraît, elles finissent par paraître le contraire du contraire de ce qu'il paraît, donc ce qu'elles paraîssent (surtout si elles paressent !), mais ça ne dure pas, car alors, elles paraissent être le contr...
Bref, il est infiniment plus simple de dire (ou de prétendre dire, dans mon cas...) ce que les choses ne sont pas plutôt que ce qu'elles sont...
Et moi quand je vois autant de mes anciennes mères alignées comme ça derrière cette grille, ben... ça ne me rajeunit pas ! Et du coup, j'ai moins la pêche ! Et je me dis que si je n'en suis que là, j'ai dû salement pécher...

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Bon, c'est décidé, ce soir j'arrête le vin de feuilles de pêcher !