mardi 28 octobre 2008

tempo

Le temps ne passe pas, il s'installe.
Denise Desautels
(Niort, septembre 2008)

1 commentaire:

Anonyme a dit…

je les aime, moi, ces vieux cimetières et leurs croix abandonnées et brisées sur les tombes: elles témoignent de l'oubli qui nous guette et qui suit la douleur de la séparation dans la mort, douleur que l'on croyait insurmontable !