vendredi 27 août 2010

urban

Parfois, les choses changent...

13 commentaires:

Weasel a dit…

Bingo

US
alors nous serions ainsi : avec des lumières, des interdictions de tourner à droite, des abris à tout vent, des fenêtres closes ou bien ouvertes sur, des nuits en vain ou pas, des plans B, des éblouissements...

Anonyme a dit…

Cher toi

Parfois les couleurs disparaissent...

Moi

Esseir a dit…

Yeah!

Fuck the entire world!

Ce soir j'ai vu "Solutions locales pour un désordre globale"...

J'ai besoin d'une dose... Un peu d'alcool (je préfèrerais beaucoups...), et de la putain de musique URBAINE : http://www.youtube.com/watch?v=uXGfntn8WdE

Bande de chiens, je sais tout çà depuis si (trop)longtemps... Plein le cul de marcher dans le désert... You'd better recognize! And pay respect...
Allez tous vous faire mettre bande de cons... A bout de patience... Ouais! Parfois les choses changent... Pardonnez moi les gens... But you'd simply better recognize ( http://www.youtube.com/watch?v=uOXX5p2yFXU )

Avalez l'egotrip... A votre tour de tenir le crachoir... Raw...

Signé un putain d'urbain souvent bien trop urbain (c'est bien urbain...)

Bon baisers de Condom...

Esseir a dit…

J'enfonce le clou : http://www.youtube.com/watch?v=FPvZ4KX_0eE

Pathos quand tu nous tiens...

J'en blogue sur ton blog Puntso...

Esseir a dit…

Tap! tap! tap!

Ouais! Enfonce!

Tape! tape! tape!

Go Vinnie! Pazmanian devil... Spit it for US... : http://www.youtube.com/watch?v=wjU8oetoILw

Je suce les couilles de Dark Vador en enfer... So good baby!

Enjoy, people...

Excuse me : http://www.youtube.com/watch?v=RWjxwQqbBD0

Anonyme a dit…

Laché de chevaux! (comment çà "encore...")

De même que les animaux de batterie se bouffent entre eux, les chevaux urbains sont suicidaires...

Ceux qui n'ont pas encore vu le film ne comprendrons peut-être pas...

http://www.youtube.com/watch?v=BZpXygBEpnw

The suicide squad...

Engagez vous... On s'amuse comme des petits fous, c'est garanti...

Pas d'alcool... Je vais en casser des caillous à Cayenne...

-"Hey! La vibe est partout, tu la sens ??"

-"All is full of love... (après Pluto sur l'album de Bjork...)"

Hum...

Je la sens pas encore très bien chérie... Un peu plus haut à gauche... Sous l'omoplate... Près d'un des points Lung...

Quoi ??

Cà fera combien ??

Tu dois bien manger ??

Je comprends mais... Hum... Forget about it...

Anonyme a dit…

on se calme !!!
tout doux l'ami...
est-ce bien nécessaire ce langage ?
c'est quoi le propos ???
vomir sa hargne ? chercher à choquer ? à provoquer ?

Anonyme a dit…

Qu'importe le message.........l'essentiel est de vivre l'expérience. Ne voit on pas le beau car le laid existe!☺

Esseir a dit…

Je n'ai fondamentalement insulté personne car j'ai insulté tout le monde... L'humanité dans son ensemble... Comprendo ??
Les larmes de Bjork, la rage des gosses salis...

Le karma de cette sale époque...

("It was a lamentable reflection on the adverse karmic conditions of the time, that the infant Rinpoche lived for a little more than a year then passed away.")

( http://www.shamarpa.org/index.php?id=84 )

Esseir a dit…

Maintenant, parfois, c'est encore moi le flic... Mais bref...

Pour finir et bien enfoncer le clou... :

"-Le fait que l’on trouve de tout partout est aussi une forme de déterritorialisation.

Voilà. Oui, ces décors d’aéroports et de bidonvilles, qui sont les mêmes partout. Cette illusion que tout est possible dans laquelle rien n’est réel. C’est-à-dire que, si tout est possible, je ne peux pas agir puisque pour agir, il faut pouvoir être affecté. Et là, on dit : « Ne soyez affectés par rien, soyez toujours sans aucune frustration, pour une partie du monde… »

-Vous ne pensez pas que ça puisse être lié à un idéal de stabilité de vie ? L’illusion d’une vie humaine fixe, cohérente, sans heurts… et la non-acceptation du fait que ça n’existe pas ?

Oui. C’est un désir mortifère. Il y a une sorte de désir d’en finir avec le désir. D’affirmer ne plus vouloir être affecté, ne plus être homme, femme, vieillir, malade. Ce désir-là est un désir mortifère, d’une sécurité maximale…

-Et que surtout rien ne se passe…

Et quand il se passe quelque chose, c’est la panique et c’est forcément négatif. Je le vois bien avec les gens qui consultent en psy. Ils arrivent et me disent : « Je vais mal ! », ce à quoi je réponds toujours : « Et alors ? ». Aller mal, c’est une possibilité de la vie, je veux dire, c’est un fait normal ! D’un point de vue psychanalytique et même neurophysiologique, quand nous disons « je vais mal », c’est une seule dimension de nous qui va mal. Une dimension consciente ou très imaginaire, par rapport à certaines images identificatoires, ou des pressions culturelles ou familiales que l’on a dans la tête, peu importe ! Mais dans les autres dimensions, on n’en sait rien si ça va mal. Peut-être que ce sont des moments de bas régime où le corps se reconstruit. Donc, quand quelqu’un va mal, il faut lui permettre d’accepter d’aller mal, or c’est quelque chose que notre société n’accepte plus. Si on va mal, il faut prendre des molécules ou faire une thérapie brève ou prendre un coach… et une société qui veut tout le temps aller bien est une société très malade."

( http://www.article11.info/spip/spip.php?article468 )

"quand il se passe quelque chose, c’est la panique et c’est forcément négatif...."

"Donc, quand quelqu’un va mal, il faut lui permettre d’accepter d’aller mal, or c’est quelque chose que notre société n’accepte plus...."

Donc l'ami(e) : Et alors ??

Esseir a dit…

Le deuxième anonyme (dont je n'ai vu le message qu'après t'avoir répondu) a bien compris lui (ou elle)...


"Et alors............l'essentiel est de vivre l'expérience."

Puntso a dit…

esseir,
parfois les choses changent...

Esseir a dit…

Oui, par exemple, mon "contrat" se termine bientôt...

Après : ?

On the road again...

Trouverais-je un jour l'étoile dans le compost ??

Je ne sais pas...

Ce qui est sûr, c'est que je vais devoir y ajouter un peu d'oseille...