dimanche 29 août 2010

tram

Délaisse les grandes routes, prends les sentiers.
Pythagore

5 commentaires:

Esseir a dit…

Un bodhisattva dans le metro :

http://www.youtube.com/watch?v=iVekS_cOVfM

Un hurricane dans le tram...

Juste différents styles...

Anonyme a dit…

We all need a PLATZ to go...

http://www.youtube.com/watch?v=FPvZ4KX_0eE

Sometimes...

Une oasis avant de repartir... Surtout quand on est à court d'eau...

On va me répondre (je la sens bien venir...) : L'eau est partout...

Certes, mais...

"Les centres de Dhagpo forment un groupe cohérent, capable d'intégrer de nouveaux éléments. Ce qui importe ici, c'est l'idée du lien. Si chacun se relie de façon juste au mandala, il sait qu'il y est à sa place. On a alors une activité appropriée à la situation et on peut être heureux ; la joie et la confiance s'élèvent, les souhaits de chacun s'accomplissent, simplement parce que la structure est adéquate."

- Lama Jigme rinpoche -

"Ce qui importe ici, c'est l'idée du lien. Si chacun se relie de façon juste au mandala, il sait qu'il y est à sa PLATZ."

Vérité absolu / vérité relative...

Dans l'absolu, il n'y a pas de mandala... La voie vers cette compréhension est progressive, la compréhension subite...

Je suis bien obliger de constater qu'il y a des obstructions...
I just ain't receiving...
J'ai juste besoin d'aide... Pour inverser certaines tendances...

La PLATZ en question est donc un lieu de rencontre...

"De tout temps, le désir le plus important a été le désir de rencontres. "

"La vraie patrie des hommes, c'est leur désir."

Ok...

J'y pense et puis j'oublie...

Tant pis...

Tant pis...

Tant pis pour qui ??

Tant pis pour MOI pardis...

"Celui qui a encore haut comme le mont Méru de croyance au moi peut encore engendrer l'esprit de l'insurpassable éveil incommensurable et parfait, tandis que les auditeurs qui ont tranché tout les liens sont semblables à des infirmes incapables de désirer les qualités d'un bouddha..."

(De tête, Mahakashyapa ? dans le sutra de Vimalakirti...)

Anonyme a dit…

EFFIGIE DU RATÉ

Ayant tout acte en horreur, il se répète à lui-même : " Le mouvement, quelle sottise! " Ce ne sont pas tant les événements qui l'irritent que l'idée d'y prendre part ; et il ne s'agite que pour s'en détourner. Ses ricanements ont dévasté la vie avant qu'il n'en ait épuisé la sève. C'est un Ecclésiaste de carrefour, qui puise dans l'universelle insignifiance une excuse à ses défaites. Soucieux de trouver sans importance quoi que ce soit, il y réussit aisément, les évidences étant en foule de son côté. Dans la bataille des arguments, il est toujours vainqueur, comme il est toujours vaincu dans l'action: il a "raison", il rejette tout -et tout le rejette. Il a compris prématurément ce qu'il ne faut pas comprendre pour vivre -et comme son talent était trop éclairé sur ses propres fonctions, il l'a gaspillé de peur qu'il ne s'écoulât dans la niaiserie d'une œuvre. Portant l'image de ce qu'il eût pu être comme un stigmate et comme un nimbe, il rougit et se flatte de l'excellence de sa stérilité, à jamais étranger aux séductions naïves, seul affranchi parmi les ilotes du Temps. Il extrait sa liberté de l'immensité de ses inaccomplissements; c'est un dieu infini et pitoyable qu'aucune création ne limite, qu'aucune créature n'adore, et que personne n'épargne. Le mépris qu'il a déversé sur les autres, les autres le lui rendent. Il n'expie que les actes qu'il n'a pas effectués, dont pourtant le nombre excède le calcul de son orgueil meurtri. Mais à la fin, en guise de consolation, et au bout d'une vie sans titres, il porte son inutilité comme une couronne. " A quoi bon?. -adage du Raté, d'un complaisant de la mort... Quel stimulant lorsqu'on commence à en subir la hantise! Car la mort, avant de trop nous y appesantir, nous enrichit, nos forces s'accroissent à son contact; puis, elle exerce sur nous son œuvre de destruction. L'évidence de l'inutilité de tout effort, et cette sensation de cadavre futur s'érigeant déjà dans le présent, et emplissant l'horizon du temps, finissent par engourdir nos idées, nos espoirs et nos muscles, de sorte que le surcroît d'élan suscité par la toute récente obsession, -se convertit- lorsque celle-ci s'est implantée irrévocablement dans l'esprit -en une stagnation de notre vitalité. Ainsi cette obsession nous incite à devenir tout et rien. Normalement elle devrait nous mettre devant le seul choix possible: le couvent ou le cabaret. Mais, quand nous ne pouvons la fuir ni par l'éternité ni par les plaisirs, quand, harcelés au milieu de notre vie, nous sommes aussi loin du ciel que de la vulgarité, elle nous transforme en cette espèce de héros décomposés qui promettent tout et n'accomplissent rien: oisifs s'essoufflant dans le Vide; charognes verticales, dont la seule activité se réduit à penser qu'ils cesseront d'être...

[Emil Cioran]

Anonyme a dit…

Cher toi,

Ton blog a un nouveau style,
ou est-ce que je rêve?
Cà devient chaotique dans les coms

Moi

Anonyme a dit…

oulala! ça devient de plus en plus névrotique. Bon c pa grave. Mais au plan dharma y'a (j'ai) un boulot énorme ...