mardi 14 septembre 2010

lit

La nature ne veut pas le bonheur.
Maurice Maeterlinck

6 commentaires:

Anonyme a dit…

La nature ne cherche rien et il y a tout, et on ne le voit même pas, occupés que nous sommes à chercher des trucs inutiles qui ne nous mènent nulle part. C'est épuisant!

Anonyme a dit…

Rien n'est inutile, seulement nous perdons du temps. et le temps qui passe use nos souliers crottés!

Anonyme a dit…

Fumer crotte les souliers...

Anonyme a dit…

On se connait?☺

Diane a dit…

Tant de beauté (merci pour la photo) n'aurait rien à voir avec le bonheur? pas même un bonheur relatif?
Ok Maurice, je vais m'efforcer de penser aux grenouilles qui vivent dans ce magnifique étang et qui se font écraser par des voitures dès qu'elles s'éloignent... aux bébés grenouilles (tétards) qui se font avaler par les poissons vivant dans le même étang, aux magnifiques libellules bleu turquoise qui se font happer par lesdites grenouilles adultes si elles s'approchent trop, à la magnifique grue qui plane au-dessus et qui peut manger tous les êtres ci-dessus dans n'importe quel ordre...
Mais alors pourquoi est-ce que je me sens si heureuse, si apaisée quand je médite au bord d'une mare? Je suis pourtant consciente de ce qui s'y passe et je ne cesse de formuler des souhaits pour tous ces êtres. La nature ne veut peut-être pas le bonheur (pour elle-même) mais elle le procure généreusement à tous ceux qui se posent en son sein!

Anonyme a dit…

pas en son sein Diane, mais en son SAINT